Le conflit a encore monté d'un cran hier au tribunal de NantesSaisi par la direction de l'entreprise, le juge des référés a demandé le retablissement du libre accès à l'usine et a interdit les feux sur le site. Cinq salariés ont même été placés sous astreinte pesonnelle. S'ils ne respectent pas ces mesures, ils devront payer 200 euros par jour. Les syndicats dénoncent une tentative d'intimidation pour affaiblir la mobilisation. Pour rappel, la SEITA devrait fermer ses portes en 2015, 327 postes sont menacés.