Mécontentes ! Les compagnies aériennes localisées à l’aéroport de Nantes ont fait savoir ce mercredi par communiqué de presse qu’elles n’étaient pas d’accord avec l’augmentation des pénalités en cas de dépassement du couvre-feu. La semaine dernière, la commission des finances à l'Assemblée Nationale, a adopté un amendement prévoyant de relever à 80 000 € le montant maximum de l’amende. "Les conséquences pour les compagnies seraient telles qu’elles pourraient conduire à remettre en question la présence d’avions basés à Nantes" indique le communiqué. En clair, elles menacent de quitter Nantes. Ce n’est pas une surprise, selon le COCETA.