Quatre sympathisants d’extrême droite comparaissent toute la semaine devant la cour d'assises, à Nantes, pour la violente agression de deux jeunes en 2017, qu'ils avaient pris à tort pour des militants antifascistes, le soir de l’élection d’Emmanuel Macron. L'un d'eux, Erwan, conserve des séquelles neurologiques, cinq ans après avoir frôlé la mort, l'autre, Steven, est traumatisé psychologiquement. Compte-rendu de cette première journée d'audience.