"On ne dissout pas un soulèvement", c'est le mot d'ordre du collectif Les Soulèvements de la terre après l'annonce officielle du gouvernement de leur dissolution. Selon Gérald Darmanin, le Ministre de l'Intérieur, le groupe inciterait "à la commission de sabotages et de dégradation matérielles, y compris par la violence". Un prétexte politique selon le collectif qui réunissait mercredi soir ses soutiens devant les préfectures de plusieurs villes de France. À Nantes, ils étaient plus d'un miller de personnes à avoir répondu présent. Les Soulèvements de la terre veulent désormais contester leur dissolution devant le Conseil d'État.